29 Nov - 19h00 @ 23h59
Aperaudio ::: John Waters, une place au soleil
Pourquoi J. Waters ? Parce qu’on entre peu à peu dans une période de nostalgie pour les 90’s et que JW risque d’être mis de côté. Si JW tourne son premier film en 1969, le moment de la reconnaissance publique et critique intervient entre Hairspray (1988) et Serial Mom (1994) : on peut donc considérer JW comme un cinéaste des 90’s. L’homme n’a pas été oublié mais il n’en est plus vraiment question. Il survit sous forme d’icône dans la culture pop, on l’invite à prononcer des conférences, il apparaît dans des clips. JW est devenu une marque. Le cinéaste, en revanche, n’intéresse plus grand monde. Sauf pour rappeler qu’il est le Pape du Trash. Il mérite mieux.
JW, cinéaste : Jean-Pierre-Paul Poire examinera toute la filmographie, en dégagera les motifs saillants et sous-jacents, et révélera l’Idée qui traverse l’ensemble. Également, il démontrera que l’œuvre obéit à une progression tout à fait logique.
JW et nous : où JW apporte des réponses aux questions les plus brûlantes de notre temps, du « vivre-ensemble » à la mort du goût, de l’écologie au sexe.
Projection de Pecker (1998) : son film le moins scandaleux, mais le plus testamentaire. Durée : 87mn. VOST.
+Dj Sets de King of The Lose et Paulette
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